Nouvelles du marché La réduction de la production de pétrole brut soutient la hausse des prix
Vendredi, après que les pays de l’OPEP+ aient annoncé une nouvelle réduction de leur production pétrolière de 0.5 million de barils par jour, les cotations pétrolières ont tout d’abord réagi à cette nouvelle par de nettes augmentations. Cependant, après la première vague d’achats, le mouvement haussier des prix s’est arrêté.
Grâce au nouvel accord, 2.1 millions de barils de pétrole en moins devraient affluer quotidiennement sur le marché. La coupe des membres de l’OPEP équivaudra à 1.7 million de barils par jour (au lieu de 1.2 million à ce jour). Les 400'000 barils restants seront surtout pris en charge par l’Arabie Saoudite. L’accord s’applique au premier trimestre de l’année prochaine. Ce matin, les cotations pétrolières tendent en légère baisse. Il y a quelques heures, la Chine a annoncé qu’en novembre, les exportations du pays avaient diminué de 1.1 pour cent par rapport à novembre 2018. Les analystes avaient pronostiqué une progression de 1 pour cent. Aux USA, la semaine dernière, le nombre de sites de forage de pétrole actifs a de nouveau reculé, cette fois de 5 unités. Ainsi, 661 installations sont actuellement en service dans le pays. Il s’agit du niveau le plus bas depuis avril 2017.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère baisse. A la bourse de New York, la tonne de mazout se négocie à moins 2 dollars. A Londres, le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 33 cents de moins que vendredi. Le cours du dollar américain a légèrement augmenté face au franc suisse.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère baisse. A la bourse de New York, la tonne de mazout se négocie à moins 2 dollars. A Londres, le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 33 cents de moins que vendredi. Le cours du dollar américain a légèrement augmenté face au franc suisse.