Nouvelles du marché Le marché pétrolier est déterminé par des facteurs techniques en ce début de semaine
En début de semaine, les cotations pétrolières ont été déterminées par des facteurs techniques. Au cours de la journée de marché d’hier, les cours du pétrole ont augmenté jusqu’à des seuils de forte résistance, sans parvenir à les franchir durablement. Les cotations pétrolières ont finalement clôturé en légère baisse par rapport à vendredi.
En dehors des facteurs techniques qui influencent notablement le déroulement de l’activité commerciale, les arguments respectifs en faveur de hausses et de baisses de prix s’équilibrent plus ou moins sur la balance. D’un côté, le strict respect des coupes de production décidées par les pays membres de l’OPEP+ et la baisse de la production pétrolière américaine à un niveau record provoquent un recul permanent de l’offre. D’un autre côté, l’explosion de nouvelles infections au coronavirus inquiète les acteurs du marché. Dans certains pays importants consommateurs de pétrole, la reprise économique est différée par la pandémie ou même complètement stoppée, comme par exemple en Californie. Hier, dans cet état le plus peuplé des USA, des mesures de confinement ont été décrétées.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 75 cents de moins qu’hier. Le dollar américain a pris un peu de valeur face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin demeurent bas.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 75 cents de moins qu’hier. Le dollar américain a pris un peu de valeur face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin demeurent bas.