Nouvelles du marché Prix du pétrole en hausse
Mardi, les cotations pétrolières ont débuté la journée en baisse. Les craintes d’assister à une augmentation mondiale du nombre d’infections au coronavirus, qui pourrait entraîner de nouveaux confinements et se répercuter négativement sur le développement économique, sont toujours bien présentes. La gigantesque explosion survenue à Beyrouth a déstabilisé les acteurs du marché, provoquant des hausses de prix notables sur tous les marchés. Pour l’instant, les nouvelles en provenance du Liban sont peu claires. L’éventualité d’une attaque ne peut être totalement exclue.
Comme les coupes de production supplémentaires de l’OPEP+ ont expiré et que les pays producteurs devraient à nouveau amener davantage de pétrole sur le marché, l’offre pourrait devenir surabondante à court terme. En juillet, l’OPEP a déjà augmenté sa production de 1 million de barils par jour. Actuellement, env. 1.5 million de barils supplémentaires pourraient affluer sur le marché. Contrairement aux prévisions, les données publiées hier soir par l’API montrent un léger recul des stocks américains d’essence et une nette diminution des stocks de pétrole brut. Les données officielles du département de l’énergie (DOE) paraîtront cet après-midi.
Actuellement, les cours du pétrole tendent en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à env. plus 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 44 cents de plus qu’hier. Les frais de transport sur le Rhin se situent toujours à un niveau bas
Actuellement, les cours du pétrole tendent en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à env. plus 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 44 cents de plus qu’hier. Les frais de transport sur le Rhin se situent toujours à un niveau bas