Nouvelles du marché Les acteurs du marché ont les yeux rivés sur les inventaires des stocks
Au cours de la journée d’hier, la volatilité des cotations pétrolières a principalement été provoquée par des facteurs techniques. Les stocks américains de pétrole brut publiés hier soir (valeurs de l’API) ont augmenté de 1.7 million de barils par rapport à la semaine passée, atteignant ainsi un nouveau niveau record. Les craintes de voir affluer à court terme une offre pétrolière surabondante sur les marchés mondiaux augmentent. Par contre, les stocks d’essence et de mazout ont reculé. Alors que le marché n’a pratiquement pas réagi aux chiffres de l’API, les données de l’EIA sont attendues impatiemment.
A moyen et long terme, les prix du pétrole devraient être influencés par la hausse de la demande mondiale de produits pétroliers, une nouvelle réduction des volumes de production et la crise du coronavirus. Les données officielles du DOE sur le niveau des stocks paraîtront cet après-midi.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 10 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 22 cents de moins qu’hier. Le dollar américain est resté stable face au franc suisse. La hausse annoncée des frais de transport sur le Rhin vient de débuter. Les coûts ont augmenté de CHF 1.50 la tonne mais se situent toujours, avec CHF 18.50 la tonne, à un bas niveau.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 10 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 22 cents de moins qu’hier. Le dollar américain est resté stable face au franc suisse. La hausse annoncée des frais de transport sur le Rhin vient de débuter. Les coûts ont augmenté de CHF 1.50 la tonne mais se situent toujours, avec CHF 18.50 la tonne, à un bas niveau.