Nouvelles du marché Prix du pétrole sous pression en fin de semaine passée
Aux USA, le coronavirus continue de se propager fortement, alors que l’Inde, la Nouvelle –Zélande et l’Australie connaissent une deuxième vague, qui provoque déjà de nouveaux confinements. Aux USA, 40'000 nouvelles infections ont été annoncées depuis jeudi dernier, ce qui correspond à un nouveau record. Cette évolution des événements réduit la consommation mondiale de pétrole. En conséquence, les prix du pétrole ont subi de fortes pressions en fin de semaine passée.
Le mouvement baissier de vendredi a encore été renforcé par les prises de bénéfices réalisées avant le week-end et par le fait que les observateurs du marché s’attendent maintenant à une récession plus forte que prévu. Aux USA, le nombre de sites de forage de pétrole actifs n’a pas diminué par rapport à la semaine passée, enregistrant même la remise en service d’une installation. Mais comme le dit le proverbe, une hirondelle ne fait pas le printemps. Il se pourrait néanmoins que le niveau de prix actuel amène certains producteurs à reprendre l’extraction pétrolière. Si tel devait être le cas, des quantités supplémentaires de pétrole afflueraient sur le marché.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 84 cents de moins que vendredi. Le dollar américain n’a subi aucun changement par rapport au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin devraient demeurer stables ces prochains jours.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en baisse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 84 cents de moins que vendredi. Le dollar américain n’a subi aucun changement par rapport au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin devraient demeurer stables ces prochains jours.