Nouvelles du marché Recul des stocks américains de pétrole brut plus important que prévu
Le coronavirus et ses répercussions sur l’économie mondiale continuent de faire pression sur les cotations pétrolières. Certes, on parle de signes laissant entrevoir une reprise conjoncturelle significative. Cependant, nous sommes encore loin de la situation d’avant la crise. L’éclosion permanente de nouveaux cas de coronavirus assombrit le climat dans les bourses.
Hier, après la fermeture de la bourse de New York, l’API a publié les derniers inventaires des stocks américains de produits pétroliers. Ils montrent une forte diminution inattendue des stocks de pétrole brut de 8.2 millions de barils par rapport à la semaine passée. Les analystes avaient pronostiqué un recul de seulement 1 million de barils de brut. Si, cet après-midi, les chiffres du DOE venaient à confirmer les données de l’API, les prix du pétrole seraient susceptibles d’augmenter. Depuis hier soir, de nombreux acteurs du marché ont commencé à couvrir leurs positions courtes.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 42 cents de plus qu’hier. Durant la nuit, le dollar américain a enregistré des pertes face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin ont marginalement baissé.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 8 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 42 cents de plus qu’hier. Durant la nuit, le dollar américain a enregistré des pertes face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin ont marginalement baissé.