Nouvelles du marché Pétrole brut stable : le plan de paix des États-Unis et la COP 30 restent flous
Les contrats à terme sur le Brent de l'ICE sont restés stables lors des premières heures de négociation en Asie, alors que les acteurs du marché surveillaient les efforts des États-Unis pour mettre fin au conflit entre la Russie et l'Ukraine.
La nouvelle initiative du président américain Donald Trump visant à mettre fin à la guerre en Ukraine soulève des questions sur l'avenir des sanctions américaines, qui ont fortement impacté les exportations de pétrole brut de la Russie. Bien que les détails manquent, les déclarations de Trump et du président ukrainien Volodymyr Zelensky laissent entendre que l'Ukraine devrait accepter de nouvelles pertes territoriales et des conditions déjà exigées par Moscou avant le début de la guerre. La Maison-Blanche a déclaré que le plan visait à permettre à la Russie de réintégrer l'économie mondiale. Cependant, Trump a souligné que les sanctions resteraient en place pour l'instant, car elles compliquent considérablement la vente de pétrole russe. Le 21 novembre, des sanctions américaines contre Rosneft et Lukoil, les plus grands producteurs de pétrole brut de Russie, sont entrées en vigueur.
Parallèlement, le sommet climatique des Nations unies COP 30 s’est terminé sans accord sur un plan de sortie des combustibles fossiles. Bien qu’au moins 80 pays aient demandé une feuille de route claire, celle-ci n’a pas été incluse dans le texte final. À la place, le document de clôture propose des plans pour un « accélérateur mondial de mise en œuvre » et la « mission Belém pour 1,5 », visant à soutenir l’objectif de 1,5 degré fixé par l’Accord de Paris.
Parallèlement, le sommet climatique des Nations unies COP 30 s’est terminé sans accord sur un plan de sortie des combustibles fossiles. Bien qu’au moins 80 pays aient demandé une feuille de route claire, celle-ci n’a pas été incluse dans le texte final. À la place, le document de clôture propose des plans pour un « accélérateur mondial de mise en œuvre » et la « mission Belém pour 1,5 », visant à soutenir l’objectif de 1,5 degré fixé par l’Accord de Paris.