Nouvelles du marché Un marché en manque d’impulsions
Alors que la bourse de New York était fermée hier pour Thanksgiving, les cours du pétrole ont terminé en repli marginal. Le marché était en panne d’impulsions. Les opérateurs attendent maintenant la réunion de l’OPEP et de ses partenaires qui se tiendra les 5 et 6 décembre à Vienne, même s’il est fort probable qu’il n’y aura pas d’autres réductions de la production.
Les pays producteurs devraient plutôt s’entendre sur le maintien des limitations actuelles, avec peut-être une nouvelle date butoir comme le 30 juin 2020.
Le nombre de puits actifs aux Etats-Unis (668) est à son plus bas depuis avril 2017. Ce chiffre devrait pousser les prix à la hausse. Il semble cependant que ces unités de forage disposent de plus grandes capacités. De fait, la production américaine a atteint un nouveau record de 12,9 millions de barils de brut par jour. Comme hier, le volume des échanges devrait rester faible aujourd’hui. Les bourses new-yorkaises devraient être désertées en ce jour de pont.
Les cours du pétrole évoluent actuellement de manière contrastée. A l’ICE de Londres, la tonne de gasoil coûte 3 dollars de plus qu’hier. Le baril de Brent de la mer du Nord cède 30 cents. Le dollar américain est inchangé face au franc suisse.
Le nombre de puits actifs aux Etats-Unis (668) est à son plus bas depuis avril 2017. Ce chiffre devrait pousser les prix à la hausse. Il semble cependant que ces unités de forage disposent de plus grandes capacités. De fait, la production américaine a atteint un nouveau record de 12,9 millions de barils de brut par jour. Comme hier, le volume des échanges devrait rester faible aujourd’hui. Les bourses new-yorkaises devraient être désertées en ce jour de pont.
Les cours du pétrole évoluent actuellement de manière contrastée. A l’ICE de Londres, la tonne de gasoil coûte 3 dollars de plus qu’hier. Le baril de Brent de la mer du Nord cède 30 cents. Le dollar américain est inchangé face au franc suisse.