Nouvelles du marché Marché pétrolier en manque de nouvelles impulsions
En fin de semaine passée, les cotations pétrolières ont subi de fortes pressions. Vendredi, après un début de séance boursière placé sous le signe de la réserve, les prix du pétrole ont sensiblement reculé en fin d’après-midi.
Le mouvement baissier a probablement été déclenché mercredi déjà, à la veille de la fête de Thanksgiving, lorsque le département de l’énergie (DOE) a communiqué les derniers inventaires des stocks américains de produits pétroliers et publié par la même occasion les volumes actuels de la production pétrolière quotidienne aux USA. Cependant, à ce moment-là, certains négociants s’étaient déjà absentés pour un week-end prolongé. La réaction fut d’autant plus violente à leur retour. En ce moment, on entend de plus en plus que les pays de l’OPEP+ décideront de ne pas réduire davantage leur production pétrolière. Il est également prévu que la prolongation des réductions de production actuelles – qui court jusqu’à la fin mars 2020 - ne sera discutée que peu avant l’expiration de l’accord en vigueur.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère hausse, en réaction aux baisses massives de vendredi. A la bourse ICE à Londres. La tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 72 cents de plus que vendredi. Le dollar américain n’a pas subi de changement notable face au franc suisse (très léger renchérissement).
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère hausse, en réaction aux baisses massives de vendredi. A la bourse ICE à Londres. La tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 72 cents de plus que vendredi. Le dollar américain n’a pas subi de changement notable face au franc suisse (très léger renchérissement).