Nouvelles du marché La pression sur les prix du pétrole demeure élevée
Le mouvement baissier des cotations pétrolières s’est poursuivi en fin de semaine passée. Les prix du pétrole brut ont reculé des deux côtés de l’Atlantique. A New York, les cours des produits finis ont quelque peu augmenté mais ce léger mouvement haussier n’a pas duré longtemps.
La pression sur les prix du pétrole demeure très forte. D’une part, la demande mondiale de produits pétroliers diminue rapidement, en raison de la propagation de la nouvelle maladie pulmonaire. D’autre part, les volumes de production de pétrole augmentent considérablement, à cause de la guerre des prix entre l’Arabie saoudite et la Russie. Les experts craignent déjà que, dans les trois mois à venir, plus aucune capacité de stockage ne soit disponible. La Russie a laissé entendre qu’un prix du baril de pétrole brut à 25 dollars serait douloureux mais pas catastrophique. Au cours de la nuit, les prix du pétrole ont enregistré de nouvelles baisses. Ils se situent maintenant à leur niveau le plus bas depuis novembre 2002.
Actuellement, ce sont surtout les cotations du pétrole brut qui tendent en baisse. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 210 cents de moins que vendredi. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 1 dollar. Durant le week-end, le dollar américain a de nouveau perdu de la valeur face à l’euro et au franc suisse.
Actuellement, ce sont surtout les cotations du pétrole brut qui tendent en baisse. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 210 cents de moins que vendredi. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 1 dollar. Durant le week-end, le dollar américain a de nouveau perdu de la valeur face à l’euro et au franc suisse.