Nouvelles du marché Pas de tendance claire pour les prix du pétrole
Les cotations pétrolières ont débuté la journée d’hier en légère hausse. Elles ne sont néanmoins parvenues à conserver que partiellement les maigres gains enregistrés en cours de journée jusqu’à la clôture de la séance boursière. A la bourse ICE à Londres, les cotations du pétrole brut ont terminé en zone négative et à New York, en légère hausse. Les prix du mazout de chauffage ont également clôturé de manière divergente des deux côtés de l’Atlantique.
Au cours de l’après-midi, le département de l’énergie (DOE) a publié les derniers chiffres officiels sur les stocks américains de produits pétroliers. Ils ont montré une progression des stocks de pétrole brut conforme aux attentes des spécialistes. Par contre, contrairement aux prévisions des analystes, les stocks de mazout ont reculé de 1.4 million de barils par rapport à la semaine passée. Les bourses n’ont pas réagi de manière logique à ces données. L’évolution des prix du pétrole va dépendre avant tout de deux facteurs, à savoir la vitesse à laquelle l’économie mondiale va se relever de la crise du coronavirus et la survenue ou non d’une deuxième vague de la pandémie.
Actuellement, les cotations pétrolières sont stables, voire en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 5 cents de moins qu’hier. Le dollar américain n’a pratiquement pas bougé face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin pourraient augmenter quelque peu ces prochains jours.
Actuellement, les cotations pétrolières sont stables, voire en hausse. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à plus 2 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 5 cents de moins qu’hier. Le dollar américain n’a pratiquement pas bougé face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin pourraient augmenter quelque peu ces prochains jours.