Nouvelles du marché Cotations pétrolières en légère hausse
En début de semaine, les prix du pétrole ont fluctué à un niveau légèrement inférieur à vendredi, sans enregistrer de fluctuations majeures. Lundi après-midi, les cours du pétrole se sont raffermis quelque peu.
Cet essor a été déclenché par l’annonce de la hausse des importations de pétrole brut de la Chine en août et septembre. Les prix du pétrole ont également été soutenus par la nouvelle, selon laquelle, les quotas de réduction de la production pétrolière de l’OPEP+ ont été très bien respectés (à 97 pour cent).
Ce matin, la journée de transactions boursières a débuté avec des prix du pétrole en hausse. L’effondrement de l’économie japonaise de 27 pour cent a provoqué un recul de la demande de produits pétroliers. Dans ce pays, les répercussions de la crise du coronavirus se font nettement ressentir. Quant à l’offre, elle est soutenue par les prévisions sur les prochains inventaires des stocks américains de produits pétroliers, qui paraîtront mardi soir et mercredi après-midi. Les stocks sont tous attendus en recul : moins 2.5 millions de barils pour le pétrole brut, moins 1 million de barils pour les distillats moyens et moins 1.5 million de barils pour l’essence. Si la diminution des stocks venait à s’avérer plus importante, elle pourrait déclencher de nouvelles fluctuations de prix. En ce moment, l’attention des acteurs du marché se focalise surtout sur la rencontre de la commission de surveillance technique de l’OPEP+, qui aura lieu le 19 août.
Ce matin, la journée de transactions boursières a débuté avec des prix du pétrole en hausse. L’effondrement de l’économie japonaise de 27 pour cent a provoqué un recul de la demande de produits pétroliers. Dans ce pays, les répercussions de la crise du coronavirus se font nettement ressentir. Quant à l’offre, elle est soutenue par les prévisions sur les prochains inventaires des stocks américains de produits pétroliers, qui paraîtront mardi soir et mercredi après-midi. Les stocks sont tous attendus en recul : moins 2.5 millions de barils pour le pétrole brut, moins 1 million de barils pour les distillats moyens et moins 1.5 million de barils pour l’essence. Si la diminution des stocks venait à s’avérer plus importante, elle pourrait déclencher de nouvelles fluctuations de prix. En ce moment, l’attention des acteurs du marché se focalise surtout sur la rencontre de la commission de surveillance technique de l’OPEP+, qui aura lieu le 19 août.