Nouvelles du marché Les prix du pétrole se redressent en cette fin de semaine
Vendredi, les prix du pétrole ont augmenté, restant sur la bonne voie pour enregistrer d’importants gains sur l’ensemble de la semaine.
Les deux sortes de pétrole – servant de référence sur le marché – ont enregistré une hausse hebdomadaire d’environ 8 pour cent. Cette semaine, les paris baissiers sur le pétrole ont bénéficié d’une marge de manœuvre limitée, qui s’est finalement réduite à zéro, en raison des craintes croissantes d’éventuelles perturbations de l’approvisionnement en pétrole au Proche-Orient. La tendance haussière des cours du pétrole a également été soutenue par l’espoir que les récentes mesures de relance économique de la Chine parviennent à stimuler quelque peu la demande de produits pétroliers du pays.
Jeudi, le président américain, Joe Biden, a déclaré que les USA étaient en pleine discussion pour décider si le pays soutiendrait les attaques israéliennes contre les installations pétrolières iraniennes, en représailles au récent lancement de missiles de Téhéran sur Israël. Pendant ce temps, l’armée israélienne lançait des frappes aériennes sur Beyrouth, afin d’éradiquer le groupe armé libanais du Hezbollah. Bien que la région représente plus d’un tiers de l’offre pétrolière mondiale, les analystes sont d’avis qu’une attaque directe contre les installations pétrolières iraniennes paraît être la moins probable de toutes les options d’Israël. « Une telle mesure provoquerait la colère de ses partenaires internationaux. En outre, si l’Iran devait renoncer à ses revenus pétroliers, il n’aurait plus rien à perdre et sa réaction pourrait donc s’avérer extrêmement violente ».
Jeudi, le président américain, Joe Biden, a déclaré que les USA étaient en pleine discussion pour décider si le pays soutiendrait les attaques israéliennes contre les installations pétrolières iraniennes, en représailles au récent lancement de missiles de Téhéran sur Israël. Pendant ce temps, l’armée israélienne lançait des frappes aériennes sur Beyrouth, afin d’éradiquer le groupe armé libanais du Hezbollah. Bien que la région représente plus d’un tiers de l’offre pétrolière mondiale, les analystes sont d’avis qu’une attaque directe contre les installations pétrolières iraniennes paraît être la moins probable de toutes les options d’Israël. « Une telle mesure provoquerait la colère de ses partenaires internationaux. En outre, si l’Iran devait renoncer à ses revenus pétroliers, il n’aurait plus rien à perdre et sa réaction pourrait donc s’avérer extrêmement violente ».