Nouvelles du marché Les prix du pétrole augmentent quelque peu
Au début de la séance de négoce de ce jour, les barils de pétrole brut de type Brent et Nymex ont enregistré de légères pertes, après les gains d’hier.
Hier, les spéculations sur un éventuel abaissement des taux d’intérêt par la banque centrale américaine (FED) - qui serait le premier depuis plus de quatre ans -, ont provoqué la hausse des prix du pétrole. Selon le négoce à terme des fonds de la FED, la probabilité d’assister à une baisse des taux de 50 points de base se montait à 59 pour cent et à 41 pour cent pour une réduction d’un quart de point. En août, l’inflation globale a baissé à 2.5 pour cent par an et la FED a exprimé ses inquiétudes quant au ralentissement de la croissance de l’emploi, qui a chuté à une moyenne mensuelle de 116'000 au cours des trois mois se terminant à fin août, alors qu’elle était de 211’000 durant les trois mois précédents.
Hier, les spéculations sur un éventuel abaissement des taux d’intérêt par la banque centrale américaine (FED) - qui serait le premier depuis plus de quatre ans -, ont provoqué la hausse des prix du pétrole. Selon le négoce à terme des fonds de la FED, la probabilité d’assister à une baisse des taux de 50 points de base se montait à 59 pour cent et à 41 pour cent pour une réduction d’un quart de point. En août, l’inflation globale a baissé à 2.5 pour cent par an et la FED a exprimé ses inquiétudes quant au ralentissement de la croissance de l’emploi, qui a chuté à une moyenne mensuelle de 116'000 au cours des trois mois se terminant à fin août, alors qu’elle était de 211’000 durant les trois mois précédents.
Hier, 5.6 pour cent de la production pétrolière était encore manquante dans le Golfe du Mexique, alors que les installations ont recommencé à fonctionner après le passage de l’ouragan Francine. Au total, 16 plateformes étaient encore hors service hier, alors que 171 étaient arrêtées la semaine dernière, lorsque Francine a balayé la région.
Selon Pedec, le département de développement de la société d’Etat NIOC, l’Iran prévoit d’augmenter la production combinée de pétrole brut sur les champs pétroliers de Sepehr et Jofeir de 43'000 à 60'000 barils par jour jusqu’en mars de l’année prochaine. Cette progression fait partie intégrante des plans visant à augmenter la capacité globale de production de pétrole brut iranienne d’ici septembre 2025 à 3.9 millions de barils par jour et à 4.8 millions de barils jusqu’en 2028. Actuellement, la production pétrolière iranienne se monte à environ 3.4 millions de barils par jour, selon la feuille de route du ministre du pétrole, Mohsen Paknejad. L’Argus estime qu’en août, la production pétrolière iranienne s’élevait à 3.33 millions de barils par jour.
Selon Pedec, le département de développement de la société d’Etat NIOC, l’Iran prévoit d’augmenter la production combinée de pétrole brut sur les champs pétroliers de Sepehr et Jofeir de 43'000 à 60'000 barils par jour jusqu’en mars de l’année prochaine. Cette progression fait partie intégrante des plans visant à augmenter la capacité globale de production de pétrole brut iranienne d’ici septembre 2025 à 3.9 millions de barils par jour et à 4.8 millions de barils jusqu’en 2028. Actuellement, la production pétrolière iranienne se monte à environ 3.4 millions de barils par jour, selon la feuille de route du ministre du pétrole, Mohsen Paknejad. L’Argus estime qu’en août, la production pétrolière iranienne s’élevait à 3.33 millions de barils par jour.