Nouvelles du marché La hausse des prix du pétrole se poursuit
A l’ouverture du marché, les barils de pétrole brut de type Brent et Nymex ont légèrement augmenté, se relevant ainsi d’une brève tentative baissière préalable.
Les cours du pétrole sont soutenus tant par la décision de la banque centrale américaine (FED) d’abaisser ses taux d’intérêt de 50 points de base, tant par la diminution du niveau des stocks américains de pétrole brut. Il s’agit de la première baisse de taux depuis 2020 et la FED prévoit d’autres abaissements d’un demi-point d’ici fin 2024. Le Federal Open Market Committee (FOMC) a abaissé son taux directeur à 4.75 – 5 pour cent, alors qu’avec 5.25 - 5.5 pour cent, il était à son plus haut niveau depuis deux décennies. Depuis juillet 2023, il était resté inchangé, après avoir été relevé au cours d’une des campagnes de hausse les plus agressives depuis quatre décennies, afin de juguler l’inflation, qui culminait à 9.1 pour cent depuis la mi-2022.
De plus, selon les dernières données du département de l’énergie (DOE), dans la semaine se terminant le 13 septembre, les stocks américains de pétrole brut ont diminué de 1.6 million de barils, pour se porter à 417.5 millions de barils. Une semaine plus tôt, ils se montaient encore à 419.1 millions de barils. Il s’agit du huitième recul en dix semaines. Comparativement à la même période de l’année dernière, ils sont inférieurs d’environ 900'000 barils.
D’autre part, les craintes relatives à la demande pétrolière chinoise assombrissent l’ambiance sur le marché. Dans ce pays, en août, les raffineries ont enregistré leur débit le plus bas depuis 22 mois. Elles n’ont pas augmenté leur production de carburants en prévision des jours fériés de la Golden Week (célébration de la République populaire de Chine), qui auront lieu en septembre et octobre, alors que la consommation est prévue en hausse.
De plus, selon les dernières données du département de l’énergie (DOE), dans la semaine se terminant le 13 septembre, les stocks américains de pétrole brut ont diminué de 1.6 million de barils, pour se porter à 417.5 millions de barils. Une semaine plus tôt, ils se montaient encore à 419.1 millions de barils. Il s’agit du huitième recul en dix semaines. Comparativement à la même période de l’année dernière, ils sont inférieurs d’environ 900'000 barils.
D’autre part, les craintes relatives à la demande pétrolière chinoise assombrissent l’ambiance sur le marché. Dans ce pays, en août, les raffineries ont enregistré leur débit le plus bas depuis 22 mois. Elles n’ont pas augmenté leur production de carburants en prévision des jours fériés de la Golden Week (célébration de la République populaire de Chine), qui auront lieu en septembre et octobre, alors que la consommation est prévue en hausse.