Nouvelles du marché Les marchés du pétrole brut sous les projecteurs : blocage du gouvernement américain, records de production et plans de l’OPEP influencent l’ambiance
Les contrats à terme sur le Brent (ICE-Brent Futures) sont restés globalement stables lors des premières heures de négociation en Asie, alors que l’attention des acteurs du marché se portait sur les possibles répercussions d’un blocage du gouvernement américain.
Le gouvernement des États-Unis a entamé son premier blocage partiel depuis six ans, mercredi à 00h01 heure de l’Est (ET). Certaines agences fédérales, dont l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA), n’ont pas encore précisé comment ce shutdown affectera la publication de données et d’autres services essentiels pour les marchés des matières premières. Sur le site de l’EIA, il est actuellement indiqué que l’agence prévoit de publier sa mise à jour hebdomadaire sur les stocks de pétrole brut américains le 1er octobre.
Selon la société d’analyse pétrolière AlphaBBL, les stocks de pétrole brut ont diminué la semaine dernière à Cushing, Oklahoma, mais ont augmenté dans des terminaux clés au Texas. La perspective d’une hausse des stocks continue de peser sur le moral du marché.
Le rapport mensuel sur l’approvisionnement en pétrole, publié par l’EIA le 30 septembre, a révélé que la production de pétrole brut aux États-Unis a atteint un record de 13,64 millions de barils par jour en juillet, soit une augmentation de 0,8 %.
Le ministre congolais du Pétrole, Bruno Itoua, a confirmé le plan de son pays, membre de l’OPEP, visant à presque doubler la production de pétrole brut d’ici 2030 pour atteindre 500 000 barils par jour. « Nous augmenterons notre production de 268 000 barils par jour à 500 000 barils par jour en cinq ans », a déclaré Itoua lors de la conférence de la Semaine africaine de l’énergie à Cape Town.
Par ailleurs, ExxonMobil, l’un des principaux producteurs de pétrole brut des États-Unis, a annoncé des licenciements dans le cadre de ses mesures de restructuration, prévoyant la suppression de 2 000 postes.
Selon la société d’analyse pétrolière AlphaBBL, les stocks de pétrole brut ont diminué la semaine dernière à Cushing, Oklahoma, mais ont augmenté dans des terminaux clés au Texas. La perspective d’une hausse des stocks continue de peser sur le moral du marché.
Le rapport mensuel sur l’approvisionnement en pétrole, publié par l’EIA le 30 septembre, a révélé que la production de pétrole brut aux États-Unis a atteint un record de 13,64 millions de barils par jour en juillet, soit une augmentation de 0,8 %.
Le ministre congolais du Pétrole, Bruno Itoua, a confirmé le plan de son pays, membre de l’OPEP, visant à presque doubler la production de pétrole brut d’ici 2030 pour atteindre 500 000 barils par jour. « Nous augmenterons notre production de 268 000 barils par jour à 500 000 barils par jour en cinq ans », a déclaré Itoua lors de la conférence de la Semaine africaine de l’énergie à Cape Town.
Par ailleurs, ExxonMobil, l’un des principaux producteurs de pétrole brut des États-Unis, a annoncé des licenciements dans le cadre de ses mesures de restructuration, prévoyant la suppression de 2 000 postes.