Nouvelles du marché ICE : Les contrats à terme en hausse
Les contrats à terme sur le pétrole brut Brent de l'ICE ont enregistré une hausse lors des premières heures de négociation en Asie, après que le président américain Donald Trump a annoncé que l'Inde prévoyait de cesser ses importations de pétrole russe.
À 04h00 GMT, le contrat Brent pour livraison en décembre était coté à 62,47/baril, soit une augmentation de 56 cents par baril par rapport au cours de clôture du 15 octobre. La veille, le contrat avait perdu 48 cents par baril. Le contrat à therme sur le contrat à therme sur le pétrole brut du Nymex pour livraison en novembre a également progressé, atteignant 58,86/baril, soit une hausse de 59 cents par baril par rapport au cours de clôture du 15 octobre, lorsqu'il avait reculé de 43 cents par baril.
Le président Donald Trump a déclaré que le Premier ministre indien Narendra Modi lui avait assuré qu’à l’avenir, l'Inde ne s'approvisionnerait plus en pétrole russe. Selon Trump, l'Inde avait déjà commencé à réduire ses importations de brut russe, mais ne pouvait pas les arrêter immédiatement. Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine et l'embargo de l'Union européenne sur les importations de pétrole brut par voie maritime en provenance de Russie, l'Inde est devenue l'un des principaux acheteurs de pétrole brut russe Urals. En août, les exportations de pétrole brut russe vers l'Inde se sont élevées à 1,58 million de barils par jour (6,74 millions de tonnes), le niveau le plus bas depuis décembre. Certaines raffineries indiennes avaient réduit leurs achats de pétrole brut russe fin juillet, mais des responsables du secteur pétrolier ainsi que le gouvernement indien ont souligné qu'il n'existait aucun plan visant à mettre fin complètement aux importations.
Pendant ce temps, le Royaume-Uni a imposé de nouvelles sanctions étendues contre le secteur pétrolier russe. Ces sanctions ciblent notamment des producteurs majeurs comme Rosneft et Lukoil, des pétroliers, des navires de GNL, ainsi que des entreprises chinoises et indiennes. De plus, l'importation de produits pétroliers raffinés à partir de pétrole brut russe dans des pays tiers a été interdite. Cette mesure s'inscrit dans le cadre du dernier paquet de sanctions de l'Union européenne, visant à empêcher le contournement des sanctions via des raffineries étrangères.
Le président Donald Trump a déclaré que le Premier ministre indien Narendra Modi lui avait assuré qu’à l’avenir, l'Inde ne s'approvisionnerait plus en pétrole russe. Selon Trump, l'Inde avait déjà commencé à réduire ses importations de brut russe, mais ne pouvait pas les arrêter immédiatement. Depuis le début de l'invasion russe en Ukraine et l'embargo de l'Union européenne sur les importations de pétrole brut par voie maritime en provenance de Russie, l'Inde est devenue l'un des principaux acheteurs de pétrole brut russe Urals. En août, les exportations de pétrole brut russe vers l'Inde se sont élevées à 1,58 million de barils par jour (6,74 millions de tonnes), le niveau le plus bas depuis décembre. Certaines raffineries indiennes avaient réduit leurs achats de pétrole brut russe fin juillet, mais des responsables du secteur pétrolier ainsi que le gouvernement indien ont souligné qu'il n'existait aucun plan visant à mettre fin complètement aux importations.
Pendant ce temps, le Royaume-Uni a imposé de nouvelles sanctions étendues contre le secteur pétrolier russe. Ces sanctions ciblent notamment des producteurs majeurs comme Rosneft et Lukoil, des pétroliers, des navires de GNL, ainsi que des entreprises chinoises et indiennes. De plus, l'importation de produits pétroliers raffinés à partir de pétrole brut russe dans des pays tiers a été interdite. Cette mesure s'inscrit dans le cadre du dernier paquet de sanctions de l'Union européenne, visant à empêcher le contournement des sanctions via des raffineries étrangères.