Nouvelles du marché ICE : le Brent augment
Les contrats à terme sur le Brent brut de l'ICE ont enregistré une hausse lors des premières heures de négociation en Asie, alimentée par les craintes de perturbations potentielles de l'offre.
Les tensions militaires entre les États-Unis et le Venezuela dans la région sud des Caraïbes pourraient affecter les flux énergétiques à travers des routes maritimes stratégiques, contribuant ainsi à la hausse des prix du pétrole.
Par ailleurs, huit membres clés de l'Opep+ ont décidé, lors d'une réunion le 7 septembre, d'augmenter progressivement leur production de pétrole brut à partir du mois prochain, selon le secrétariat de l'Opep. L'Arabie saoudite, l'Irak, le Koweït, la Russie, les Émirats arabes unis, l'Algérie, Oman et le Kazakhstan prévoient de réduire partiellement leurs restrictions actuelles sur la production. À partir d'octobre, 1,65 million de barils par jour des réductions précédentes seront progressivement réintroduits. Dans un premier temps, les objectifs de production combinés seront augmentés de 137 000 barils par jour.
Cependant, l'incertitude demeure quant à d'éventuelles augmentations supplémentaires après octobre, car l'Opep+ n'a pas publié de directives précises. L'organisation a déclaré que les réductions restantes pourraient être "partiellement ou totalement annulées, en fonction de l'évolution des conditions du marché et selon une approche progressive".
Aux États-Unis, le marché du travail a montré des signes de ralentissement en août, avec une croissance nettement plus faible que prévu. De plus, des révisions des données précédentes ont révélé des pertes nettes d'emplois en juin. L'incertitude entourant les politiques de Donald Trump, notamment en matière de tarifs douaniers, d'immigration et de dépenses publiques, a conduit de nombreuses entreprises à suspendre leurs projets d'embauche.
Par ailleurs, huit membres clés de l'Opep+ ont décidé, lors d'une réunion le 7 septembre, d'augmenter progressivement leur production de pétrole brut à partir du mois prochain, selon le secrétariat de l'Opep. L'Arabie saoudite, l'Irak, le Koweït, la Russie, les Émirats arabes unis, l'Algérie, Oman et le Kazakhstan prévoient de réduire partiellement leurs restrictions actuelles sur la production. À partir d'octobre, 1,65 million de barils par jour des réductions précédentes seront progressivement réintroduits. Dans un premier temps, les objectifs de production combinés seront augmentés de 137 000 barils par jour.
Cependant, l'incertitude demeure quant à d'éventuelles augmentations supplémentaires après octobre, car l'Opep+ n'a pas publié de directives précises. L'organisation a déclaré que les réductions restantes pourraient être "partiellement ou totalement annulées, en fonction de l'évolution des conditions du marché et selon une approche progressive".
Aux États-Unis, le marché du travail a montré des signes de ralentissement en août, avec une croissance nettement plus faible que prévu. De plus, des révisions des données précédentes ont révélé des pertes nettes d'emplois en juin. L'incertitude entourant les politiques de Donald Trump, notamment en matière de tarifs douaniers, d'immigration et de dépenses publiques, a conduit de nombreuses entreprises à suspendre leurs projets d'embauche.