Nouvelles du marché Les prix du pétrole ont terminé la semaine en nette hausse
Les cotations pétrolières ont sensiblement augmenté en fin de semaine passée. Les acteurs du marché notent que de plus en plus de pays assouplissent les restrictions – qui avaient été introduites en raison du coronavirus – et s’attendent à une hausse de la demande de produits pétroliers à moyen terme.
Parallèlement à la reprise économique mondiale, la production pétrolière globale est en baisse. La semaine dernière, aux USA, le nombre de sites de forage de pétrole actifs a reculé de 33 unités. Actuellement, 292 installations sont en service. Au début janvier, elles se comptaient encore au nombre de 670. La Russie aurait également considérablement diminué sa production pétrolière. Par contre, une deuxième vague de coronavirus – qui déferle dans certaines régions de la Chine et de la Corée du Sud depuis quelques jours – fait pression sur les prix du pétrole.
Actuellement, les cotations pétrolières divergent. Les prix du pétrole brut sont sous pression. A la bourse ICE à Londres, le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord se négocie à moins 70 cents. Le mazout de chauffage coûte plus cher que vendredi, tant à Londres qu’à New York. A Londres, la tonne de mazout est offerte à plus 8 dollars. Le dollar américain n’a pratiquement pas bougé face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin se sont stabilisés à un niveau relativement élevé.
Actuellement, les cotations pétrolières divergent. Les prix du pétrole brut sont sous pression. A la bourse ICE à Londres, le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord se négocie à moins 70 cents. Le mazout de chauffage coûte plus cher que vendredi, tant à Londres qu’à New York. A Londres, la tonne de mazout est offerte à plus 8 dollars. Le dollar américain n’a pratiquement pas bougé face au franc suisse. Les frais de transport sur le Rhin se sont stabilisés à un niveau relativement élevé.