Nouvelles du marché Recul des stocks hebdomadaires de pétrole attendu aux USA
Hier, les cotations pétrolières ont réussi à accroître les légers bénéfices enregistrés la veille. Les négociants ont attribué ce mouvement haussier à l’augmentation de la demande mondiale de produits pétroliers, après l’assouplissement des restrictions dues au coronavirus mais également à l’humeur plus positive sur les marchés boursiers.
Les réductions de production considérables des principaux pays producteurs de pétrole pourraient amener la balance entre l’offre et la demande à s’équilibrer déjà en juin ou en juillet. La Russie, l’Arabie saoudite et les USA, les plus gros producteurs mondiaux de pétrole, ont nettement diminué leurs volumes de production pétrolière, en partie pour des raisons de rentabilité. Les derniers inventaires des stocks américains, qui seront publiés par l’API ce soir, après la fermeture de la bourse de New York, pourraient montrer les répercussions concrètes des fermetures massives de sites de forage aux USA. Les professionnels s’attendent à un recul des stocks américains de pétrole brut de 2.5 millions de barils par rapport à la semaine passée.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère baisse. Les nouvelles tensions entre la Chine et les USA font pression sur les prix. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 3 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 81 cents de moins qu’hier. Le dollar américain a encore perdu de sa valeur par rapport au franc suisse.
Actuellement, les cotations pétrolières tendent en légère baisse. Les nouvelles tensions entre la Chine et les USA font pression sur les prix. A la bourse ICE à Londres, la tonne de gasoil (mazout) se négocie à moins 3 dollars. Le baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord coûte 81 cents de moins qu’hier. Le dollar américain a encore perdu de sa valeur par rapport au franc suisse.