Nouvelles du marché Les prix du pétrole se maintiennent à un niveau élevé
Les prix du pétrole affichent toujours une certaine fermeté. Le baril de pétrole brut de qualité Brent de la Mer du Nord avoisine même la barre des 70 dollars, pour la deuxième fois de l’année.
L’optimisme reflété par les prix du pétrole est principalement dû à toute une série de prévisions encourageantes sur la demande mondiale de produits pétroliers.
La tendance haussière est également soutenue par la faiblesse du dollar américain, qui rend le pétrole plus avantageux pour les autres zones monétaires. La thèse d’un essor très rapide et vigoureux du marché pétrolier dès le début de l’été est renforcée par de nouveaux chiffres et scénarios. Pour le moment, ces estimations ont relégué au second plan les chiffres de la pandémie de coronavirus en Inde, au Brésil et au Japon. Le marché se focalise sur la tendance dans les trois régions économiquement importantes que sont les USA, la Chine et l’Europe. Et à quelques exceptions près, seules des annonces conjoncturelles positives proviennent de ces parties du monde. En outre, le président américain Joe Biden veut créer de nouveaux emplois, grâce à un paquet d’infrastructures de plusieurs milliards de dollars. Le marché dispose de suffisamment de marchandise physique pour répondre à la demande accrue de pétrole qui va en résulter. Il sera même possible de piocher dans les stocks excédentaires de l’année dernière. Toutefois, un resserrement de l’offre pourrait provoquer des hausses de prix. Pour cette raison, le cartel de l’OPEP a décidé de mettre en œuvre prudemment les hausses de production planifiées. La suite de la stratégie de production de l’OPEP sera négociée lors de la réunion du mois de juin.
La tendance haussière est également soutenue par la faiblesse du dollar américain, qui rend le pétrole plus avantageux pour les autres zones monétaires. La thèse d’un essor très rapide et vigoureux du marché pétrolier dès le début de l’été est renforcée par de nouveaux chiffres et scénarios. Pour le moment, ces estimations ont relégué au second plan les chiffres de la pandémie de coronavirus en Inde, au Brésil et au Japon. Le marché se focalise sur la tendance dans les trois régions économiquement importantes que sont les USA, la Chine et l’Europe. Et à quelques exceptions près, seules des annonces conjoncturelles positives proviennent de ces parties du monde. En outre, le président américain Joe Biden veut créer de nouveaux emplois, grâce à un paquet d’infrastructures de plusieurs milliards de dollars. Le marché dispose de suffisamment de marchandise physique pour répondre à la demande accrue de pétrole qui va en résulter. Il sera même possible de piocher dans les stocks excédentaires de l’année dernière. Toutefois, un resserrement de l’offre pourrait provoquer des hausses de prix. Pour cette raison, le cartel de l’OPEP a décidé de mettre en œuvre prudemment les hausses de production planifiées. La suite de la stratégie de production de l’OPEP sera négociée lors de la réunion du mois de juin.