Vous trouverez ici les nouvelles du marché publiées précédemment.
Prix du pétrole en légère hausse
Tendance en légère hausse –
Mardi, les prix du pétrole ont à nouveau légèrement augmenté par rapport à la veille. La récente hausse des cotations pétrolières a été soutenue par le dollar américain, qui a quelque peu perdu de sa valeur ces derniers jours. La baisse du cours du dollar provoque généralement une hausse de la demande de pétrole car le taux de change rend les matières premières – qui se négocient principalement dans la monnaie américaine – plus avantageuses pour les acheteurs situés hors de la zone du dollar.
La semaine débute avec des prix du pétrole en légère baisse
Tendance en légère baisse –
Lundi, la nouvelle semaine a débuté avec des prix du pétrole en léger recul. Les cotations pétrolières fluctuent toujours dans une fourchette étroite. La légère tendance baissière actuelle est due à l’attente d’une augmentation des livraisons dans les pays hors de la CEI. Selon les acteurs du marché, en février, les exportations de pétrole brut via le système de pipeline russe Transneft ont augmenté de 2 pour cent par rapport au mois précédent, atteignant ainsi 4 millions de barils par jour. En date du 5 janvier, les mauvaises conditions météorologiques avaient entraîné le report des livraisons de pétrole brut à février. Depuis le début de l’année, les prix du pétrole ont augmenté d’environ 5 pour cent. La guerre dans la bande de Gaza et les tensions élevées au Proche-Orient, riche en pétrole, poussent les prix vers le haut. De plus, l’offre de l’OPEP est restreinte. D’un autre côté, la faiblesse de l’économie mondiale provoque un ralentissement de la demande de pétrole, ce qui fait pression sur les prix.
Tendance stable –
La hausse des stocks de pétrole brut, l’augmentation des exportations pétrolières russes et les spéculations sur l’évolution des taux d’intérêt font actuellement pression sur les prix du pétrole.
Tendance en légère hausse –
Actuellement, les prix du baril de pétrole brut de type Brent et Nymex sont en légère augmentation, principalement en raison de la forte demande pétrolière chinoise, après les vacances du Nouvel An lunaire. Les données étonnamment élevées sur les voyages et la consommation en Chine ont fait souffler un vent d’optimisme quant à l’évolution de la demande pétrolière intérieure durant le deuxième trimestre de 2024.
La baisse de la production pétrolière russe et la faiblesse du dollar américain soutiennent les prix du pétrole brut.
Tendance en légère baisse –
En dépit des inquiétudes relatives à la demande pétrolière mondiale et au ralentissement du marché immobilier chinois, le marché pétrolier affiche une tendance haussière. Selon le ministre russe de l’énergie, Nikolaï Choulguinov, la production pétrolière russe va reculer en 2024 de 1.6 pour cent, pour se porter à 10.46 millions de barils par jour. Cette information contribue également à soutenir les cours du pétrole. De plus, dans les raffineries russes, le débit pourrait légèrement diminuer. La baisse du cours du dollar américain provoque une augmentation de la demande de matières premières, ces dernières devenant plus avantageuses pour les pays importateurs. Ce facteur donne un essor supplémentaire au marché. En revanche, les inquiétudes concernant la demande pétrolière mondiale font pression sur les prix. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a pronostiqué une augmentation des stocks de pétrole de plus de 800'000 barils par jour en 2024, en raison de l’affaiblissement de la demande mondiale et d’une offre en augmentation.
Tendance en légère hausse –
Entre hier et aujourd’hui, les prix du pétrole n’ont augmenté que faiblement. Les troubles persistants en mer Rouge soutiennent néanmoins les cotations pétrolières. Le 18 février, le commandement central américain a fait part de cinq attaques sur des territoires contrôlés par le groupe de militants houtis au Yémen. Le 16 février, les rebelles houthis ont lancé trois missiles sur un pétrolier qui acheminait du pétrole brut russe vers l’Inde. Cette information a été confirmée par le ministère américain de la Défense. Bien que le navire n’ait subi que de faibles dommages et qu’aucun membre de l’équipage n’ait été blessé, il est à craindre que la hausse des frais de transport n’affecte les rabais alloués sur le pétrole brut russe. Depuis le début du mois de février, les frais de transport pour les 270'000 tonnes de pétrole brut acheminés par la mer Rouge vers la région de l’Asie-Pacifique ont sensiblement augmenté.
Prix du pétrole en légère baisse en ce début de semaine
Tendance en légère baisse –
Après avoir augmenté vendredi, les prix du pétrole sont à nouveau sous pression ce matin. Ce mouvement baissier est dû au déploiement de la nouvelle mission navale de l’Union européenne en mer Rouge, qui fait renaître l’espoir d’une stabilité accrue dans la région. L’Union européenne va lancer une mission d’une durée d’un an qui s’appellera Aspides. Les trois frégates doivent protéger les navires marchands contre les attaques des rebelles houthis au Yémen, a déclaré Hannah Neumann, responsable de la délégation du Parlement européen pour les relations avec la péninsule arabique, en marge de la conférence de Munich sur la sécurité. La tendance baissière des cours du pétrole se heurte toutefois à l’assombrissement des perspectives d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré qu’Israël ne céderait pas aux pressions internationales et n’annulerait pas l’offensive terrestre planifiée sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où un million de Palestiniens ont trouvé refuge. Lors de la conférence sur la sécurité de février à Munich, les négociations sur un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, basé dans la bande de Gaza, ne se sont pas déroulées « de manière très prometteuse ».
Peu de fluctuations sur le marché pétrolier avant le week-end
Tendance en légère baisse –
En ce dernier jour de la semaine, les prix du pétrole sont quasiment stables. Le climat généralement positif qui règne sur les marchés financiers n’a pas contribué à pousser les prix du pétrole vers le haut durant la matinée. Les observateurs du marché soulignent les récentes prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) sur la demande mondiale de pétrole, qui font pression sur les prix. En 2024, la croissance de la demande mondiale de pétrole sera probablement deux fois moins importante que l’année précédente. Pourtant, les prix du pétrole augmentent de semaine en semaine. Depuis lundi, les cotations du baril de pétrole brut de type Brent de la mer du Nord ont progressé d’environ un dollar.
Prix du pétrole à nouveau en baisse – L’augmentation des stocks américains fait pression sur le marché
Tendance en légère baisse –
Le mouvement baissier amorcé par les prix du pétrole mercredi s’est poursuivi jeudi. Le recul est néanmoins resté limité. Le baril de pétrole brut de la mer du Nord a baissé d’environ 2 dollars en milieu de semaine. Les données sur le niveau des ressources pétrolières américaines ont contribué à faire baisser les prix. Selon le rapport paru mercredi, les stocks américains de pétrole brut ont augmenté de 12 millions de barils par rapport à la semaine précédente, pour se porter à 439.4 millions de barils. Les analystes s’attendaient en moyenne à une progression de 3.3 millions de barils. L’augmentation de l’offre pétrolière américaine accroît la pression sur les prix.
Tendance en légère baisse –
Après avoir augmenté ces derniers jours, les prix du pétrole ont repris une tendance légèrement baissière mercredi. Hier soir, l’American Petroleum Institute (API) a publié une augmentation des stocks américains de pétrole brut de 8.5 millions de barils par rapport à la semaine dernière. Les chiffres officiels du gouvernement américain paraîtront cet après-midi. Les acteurs du marché ont également mentionné le rapport mensuel publié mardi par le groupe de l’OPEP. La réduction de production initialement décidée ne sera finalement que partiellement mise en œuvre. Alors que le Koweit et l’Algérie, membres de l’OPEP, ont bien réduit leur production pétrolière conformément aux quotas convenus, la réduction de production de l’Irak est nettement inférieure au niveau prévu. Auparavant, les craintes d’une escalade du conflit au Proche-Orient avaient entraîné une hausse notable des cours du pétrole. Récemment, les dirigeants militaires israéliens ont exclu l’éventualité d’une fin rapide de la guerre dans la bande de Gaza. Désormais, toute l’attention se porte sur l’Iran. Mercredi soir, une explosion a endommagé plusieurs conduites de gaz locales. Lors d’une interview donnée à la télévision nationale, le directeur du National Gas Pipeline Network Center, Said Agly, a qualité cet incident d’attaque terroriste.