Vous trouverez ici les nouvelles du marché publiées précédemment.
Prix du pétrole quasiment inchangés par rapport à hier
Tendance stable –
Les acteurs du marché focalisent actuellement leur attention sur les prévisions relatives à la demande pétrolière mondiale et sur la politique américaine en matière de taux d’intérêt.
Tendance en légère baisse –
En ce début de semaine, les prix du pétrole ont enregistré de légères baisses. Les incertitudes économiques et les craintes relatives à la demande pétrolière exercent une influence sur le marché mondial.
La semaine se termine avec des prix du pétrole en hausse
Tendance en légère hausse –
La hausse des importations chinoises de pétrole brut et les tensions géopolitiques font augmenter les cours du pétrole sur le marché mondial.
Recul des stocks américains de produits pétroliers supérieur aux attentes
Tendance stable –
Selon les données publiées mercredi par le département de l’énergie, l’augmentation des stocks américains de pétrole brut a été inférieure aux attentes, ce qui a donné des impulsions positives au marché. Au lieu de la progression prévue de 2.6 millions de barils par rapport à la semaine précédente, les stocks de pétrole brut n’ont augmenté que de 1,4 million de barils. Le recul des stocks de distillats moyens (mazout et diesel) de 4.1 millions de barils, soit nettement plus que les moins 1 million de barils pronostiqués, a été tout aussi surprenant. Quant aux stocks d’essence, ils ont diminué de 4.5 millions de barils, soit sensiblement plus que le recul prévu de 1.6 million de barils.
Les réductions de production n’ont que des répercussions limitées sur les marchés pétroliers mondiaux
Tendance stable –
Au début de la journée de négoce de mardi à la bourse ICE, les contrats de mazout à terme sont restés quasi inchangés, alors que la veille au soir, ils avaient enregistré une baisse significative.
Après un léger redressement, les prix du pétrole reprennent une tendance baissière
Tendance en légère hausse –
Au cours des premières transactions boursières de ce jour, les contrats de mazout de chauffage à terme ont légèrement augmenté à l’ICE mais ils ont repris une tendance baissière ensuite.
Tendance en légère hausse –
Vendredi matin, les prix du pétrole se sont légèrement redressés. Ce revirement est dû à la persistance des troubles en mer Rouge, où les USA et leurs alliés ont lancé des frappes aériennes et des missiles contre les combattants houthis au Yémen, qui ne cessent de leur côté d’attaquer des navires marchands avec des missiles et des drones. Selon les dernières données, en février, le trafic sur le canal de Suez a diminué de 50 pour cent par rapport au même mois de l’année dernière. Les navires sont contraints d’emprunter une voie qui contourne le Cap de Bonne Espérance, ce qui rallonge sensiblement le trajet. L’association maritime internationale Bimco – qui représente les armateurs – estime que la crise pourrait durer jusqu’à la fin juin.
Tendance en légère baisse –
Jeudi matin, les prix du pétrole étaient quasi inchangés par rapport au cours de clôture de la veille. Le marché pétrolier était en manque d’impulsions déterminantes. Toutefois, depuis le début de l’année 2024, les cours du pétrole ont augmenté d’environ 8 pour cent. L’offre restreinte des grands producteurs de pétrole, tels que l’Arabie saoudite et la Russie, a tiré les prix vers le haut. Cet essor a également été soutenu par la guerre dans la bande de Gaza et les tensions géopolitiques au Proche-Orient, riche en pétrole. De plus, la demande mondiale de pétrole brut, d’essence et de diesel n’a cessé de s’affaiblir, en raison de l’instabilité de la situation économique dans nombre de pays. La nouvelle progression des stocks américains de pétrole a généré des tensions. La semaine dernière, les stocks de pétrole brut ont enregistré une hausse supérieure aux attentes.
Tendance en légère baisse –
Mercredi, les prix du pétrole ont légèrement reculé. Ce mouvement baissier a été déclenché par le fait que la demande de pétrole brut des raffineries russes pourrait diminuer. Le pays prévoit effectivement d’interdire toute exportation d’essence pour une durée de six mois à partir du 1er mars 2024. C’est ce qu’a rapporté l’agence de presse nationale TASS le 27 février, citant les propos d’un représentant du vice-premier ministre en charge de l’énergie, Alexandre Novak. L’objectif de cette mesure est de garantir une offre indigène stable en cas de rénovation de raffineries et d’augmentation saisonnière de la demande.