Nouvelles du marché Archives

Vous trouverez ici les nouvelles du marché publiées précédemment.

Forte hausse des prix du pétrole en ce début de semaine

Tendance en forte hausse – Le conflit au Proche-Orient s’est encore aggravé et cette escalade déstabilise le marché pétrolier.
Le lancement de missiles sur le pétrolier Marlin Luanda et une attaque de drone meurtrière en Jordanie contribuent à soutenir les cotations du pétrole brut. Le groupe de rebelles houthis a revendiqué la responsabilité de l’attaque du pétrolier, alors que le président américain Biden a accusé les groupes basés en Iran d’être à l’origine de l’attaque de drone. Les USA ont annoncé une réaction prochaine à ces attaques.

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Certains facteurs mondiaux font augmenter les prix du pétrole

Tendance en légère hausse – La hausse des chiffres de la consommation aux USA, la reprise des livraisons de pétrole brut et les tensions géopolitiques provoquent la hausse des cours du pétroles sur les marchés mondiaux.

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Les événements mondiaux façonnent la situation économique et géopolitique

Tendance en légère hausse – La réduction à court terme de la production pétrolière dans le Dakota du Nord, les décisions relatives à la politique monétaire chinoise et l’escalade des troubles en mer Rouge déterminent le contexte actuel du marché mondial.

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Les stocks de pétrole diminuent, le dollar américain augmente – Les deux facteurs influent sur les prix

Tendance en légère hausse – L’impact des conditions météorologiques sur la production de pétrole brut aux USA et la robustesse du dollar américain exercent une influence sur les marchés mondiaux de pétrole brut.
Selon la société d’analyse Alpha BBL, les stocks de pétrole brut dans le centre de stockage de Cushing en Oklahoma ont reculé pour la troisième fois consécutive, en raison de la vague de froid qui a entravé la production de pétrole brut aux USA la semaine dernière. Selon les données d’Alpha BBL, au cours de la semaine se terminant le 19 janvier, le niveau des stocks de pétrole brut dans le dépôt de Cushing a chuté de 2.8 millions de barils ou de 8.4 pour cent, pour se porter à 30.6 millions de barils.

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Les tensions mondiales et les spéculations financières provoquent la hausse des prix du pétrole

Tendance en légère hausse – La flambée des conflits au Proche-Orient et l’incendie d’une installation pétrolière en Russie font grimper les prix du pétrole, alors que les espoirs d’une baisse des taux d’intérêt aux USA s’amenuisent.

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Prix du pétrole stables

Tendance en légère hausse – Les activités ont repris sur le plus grand champ pétrolifère de El Sharara en Libye. Ce site avait été fermé pendant près de trois semaines, en raison de manifestations. Ce champ pétrolifère produit habituellement 300'000 barils de pétrole brut par jour. Sa réouverture règle les problèmes de livraison pour le terminal de Zawia, à partir duquel les ventes de pétrole sont réalisées. Il faudra cependant attendre un jour au minimum avant que la production atteigne son niveau d’avant la fermeture du site.

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Les prix du pétrole se stabilisent après les fortes fluctuations de ces derniers jours

Tendance en légère hausse – Après avoir connu récemment une forte volatilité, les cotations pétrolières se sont stabilisées vendredi. Le matin, elles se situaient quasiment au même niveau que lors de la clôture de la veille. Au cours de cette semaine, le marché pétrolier a enregistré nombre de fluctuations de prix. L’attaque lancée par l’armée américaine sur les rebelles houthis au Yémen a fait craindre une escalade du conflit au Moyen-Orient, riche en pétrole, faisant flamber temporairement les prix du pétrole. Les combattants houthis au Yémen ont tiré deux missiles anti-navires sur un chimiquier en mer Rouge. Le commandement central américain a déclaré que ces missiles étaient tombés dans l’eau à proximité du navire, sans faire aucun blessé ou dégât sur le navire, qui a pu poursuivre sa trajectoire. Auparavant, les rebelles houthis avaient déjà attaqué un navire en mer Rouge, rendant ainsi risqué tout transit via cette importante voie commerciale.

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Les prix du pétrole remontent à la suite de nouvelles attaques aériennes des USA au Yémen

Tendance en légère hausse – Jeudi, les prix du pétrole ont augmenté après de nouvelles attaques aériennes américaines contre les rebelles houthis au Yémen. Cependant, les craintes d’une éventuelle escalade du conflit au Proche-Orient sont moins vives que lors des précédentes attaques militaires. Dans la nuit de mercredi à jeudi, les forces américaines avaient lancé une nouvelle attaque militaire sur des positions de la milice houtiste, soutenue par l’Iran, en réaction à une attaque de navires marchands en mer Rouge. En guise de représailles aux attaques récurrentes contre la navigation internationale en mer Rouge, les USA et ses alliés avaient lancé la semaine dernière une attaque militaire plus musclée contre les forces houthistes.
D’un autre côté, la légère progression du niveau des stocks américains de pétrole brut pronostiquée hier matin n’a pas accru la pression sur les cours du pétrole. Les chiffres effectifs, publiés hier soir par l’American Petroleum Institute (API), ont montré une augmentation des réserves de pétrole brut d’environ 0.5 million de barils par rapport à la semaine passée. Les données officielles du département de l’énergie (DOE) seront communiquées cet après-midi par le gouvernement américain. Les acteurs du marché les attendent avec un vif intérêt car elles sont susceptibles de donner de nouvelles impulsions aux prix du pétrole. La croissance du produit brut national de la Chine en 2023 de 5.2 pour cent compte également au nombre des facteurs de soutien des cotations pétrolières. L’objectif de croissance économique de 5 pour cent fixé par le gouvernement est donc atteint.

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Les prix du pétrole reculent à nouveau légèrement

Tendance en légère baisse – Mercredi, au cours des premières transactions boursières, les prix du pétrole ont légèrement baissé. La hausse du cours du dollar américain a attisé les tensions durant plusieurs jours. Lorsque le taux de change du dollar augmente, le pétrole brut – qui se négocie dans la monnaie américaine - renchérit pour nombre d’acquéreurs potentiels sis en dehors de la zone du dollar. Par conséquent, la demande diminue, ce qui fait pression sur les prix. L’ambiance négative qui régnait dernièrement sur les marchés financiers s’est répercutée sur les marchés pétroliers. Par ailleurs, la vague de froid qui sévit aux USA a entraîné des restrictions de fonctionnement de certaines raffineries, ce qui accroît la pression baissière sur les cours du pétrole. Le National Weather Service (NWS) a lancé un avertissement de froid extrême pour une grande partie de la région côtière du Golfe, qui possède à son actif plus de la moitié des capacités de raffinage de pétrole des USA. En début de semaine, des alertes ont été lancées quant au risque de gel et de refroidissement éolien. Dans certains lieux, la température est descendue à moins 7°C.

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Léger recul des prix du pétrole

Tendance en légère hausse – Au cours des premières transactions boursières de mardi, les prix du pétrole ont légèrement baissé. La force du dollar américain a fait pression sur les cours du pétrole. Lorsque la monnaie américaine prend de la valeur, le pétrole brut – qui se négocie en dollars – renchérit pour les acquéreurs potentiels, en raison du taux de change. Par conséquent, la demande a tendance à diminuer et les prix baissent. En revanche, les tensions au Proche-Orient soutiennent toujours les cotations pétrolières. Les Gardiens iraniens de la révolution ont annoncé avoir lancé des missiles sur des cibles iraniennes et syriennes. Ces attaques constituent des représailles au raid meurtrier perpétré début janvier sur la ville de Kerman au sud de l’Iran et à l’assassinat d’un officier supérieur de l’armée à la fin décembre. Ces derniers jours, les USA et la Grande-Bretagne ont lancé des attaques militaires contre les rebelles houthis soutenus par l’Iran. Auparavant, les rebelles houthis avaient perpétré des attaques contre des navires marchands en mer Rouge. Toutefois, les prix du pétrole n’ont réagi à ces événements que par de modestes primes de risque car l’extension tant redoutée du conflit à toute la région du Proche-Orient ne s’est pas produite pour l’instant.

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