Nouvelles du marché Archives

Vous trouverez ici les nouvelles du marché publiées précédemment.

Les prix du pétrole se redressent quelque peu

Tendance en légère hausse – Vendredi matin, les prix du pétrole se sont légèrement redressés. Ce revirement est dû à la persistance des troubles en mer Rouge, où les USA et leurs alliés ont lancé des frappes aériennes et des missiles contre les combattants houthis au Yémen, qui ne cessent de leur côté d’attaquer des navires marchands avec des missiles et des drones. Selon les dernières données, en février, le trafic sur le canal de Suez a diminué de 50 pour cent par rapport au même mois de l’année dernière. Les navires sont contraints d’emprunter une voie qui contourne le Cap de Bonne Espérance, ce qui rallonge sensiblement le trajet. L’association maritime internationale Bimco – qui représente les armateurs – estime que la crise pourrait durer jusqu’à la fin juin.

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Prix du pétrole à nouveau en légère baisse

Tendance en légère baisse – Jeudi matin, les prix du pétrole étaient quasi inchangés par rapport au cours de clôture de la veille. Le marché pétrolier était en manque d’impulsions déterminantes. Toutefois, depuis le début de l’année 2024, les cours du pétrole ont augmenté d’environ 8 pour cent. L’offre restreinte des grands producteurs de pétrole, tels que l’Arabie saoudite et la Russie, a tiré les prix vers le haut. Cet essor a également été soutenu par la guerre dans la bande de Gaza et les tensions géopolitiques au Proche-Orient, riche en pétrole. De plus, la demande mondiale de pétrole brut, d’essence et de diesel n’a cessé de s’affaiblir, en raison de l’instabilité de la situation économique dans nombre de pays.
La nouvelle progression des stocks américains de pétrole a généré des tensions. La semaine dernière, les stocks de pétrole brut ont enregistré une hausse supérieure aux attentes.

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Léger recul des prix du pétrole

Tendance en légère baisse – Mercredi, les prix du pétrole ont légèrement reculé. Ce mouvement baissier a été déclenché par le fait que la demande de pétrole brut des raffineries russes pourrait diminuer. Le pays prévoit effectivement d’interdire toute exportation d’essence pour une durée de six mois à partir du 1er mars 2024. C’est ce qu’a rapporté l’agence de presse nationale TASS le 27 février, citant les propos d’un représentant du vice-premier ministre en charge de l’énergie, Alexandre Novak. L’objectif de cette mesure est de garantir une offre indigène stable en cas de rénovation de raffineries et d’augmentation saisonnière de la demande.

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Prix du pétrole en légère hausse

Tendance en légère hausse – Mardi, les prix du pétrole ont à nouveau légèrement augmenté par rapport à la veille. La récente hausse des cotations pétrolières a été soutenue par le dollar américain, qui a quelque peu perdu de sa valeur ces derniers jours. La baisse du cours du dollar provoque généralement une hausse de la demande de pétrole car le taux de change rend les matières premières – qui se négocient principalement dans la monnaie américaine – plus avantageuses pour les acheteurs situés hors de la zone du dollar.

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La semaine débute avec des prix du pétrole en légère baisse

Tendance en légère baisse – Lundi, la nouvelle semaine a débuté avec des prix du pétrole en léger recul. Les cotations pétrolières fluctuent toujours dans une fourchette étroite. La légère tendance baissière actuelle est due à l’attente d’une augmentation des livraisons dans les pays hors de la CEI. Selon les acteurs du marché, en février, les exportations de pétrole brut via le système de pipeline russe Transneft ont augmenté de 2 pour cent par rapport au mois précédent, atteignant ainsi 4 millions de barils par jour. En date du 5 janvier, les mauvaises conditions météorologiques avaient entraîné le report des livraisons de pétrole brut à février. Depuis le début de l’année, les prix du pétrole ont augmenté d’environ 5 pour cent. La guerre dans la bande de Gaza et les tensions élevées au Proche-Orient, riche en pétrole, poussent les prix vers le haut. De plus, l’offre de l’OPEP est restreinte. D’un autre côté, la faiblesse de l’économie mondiale provoque un ralentissement de la demande de pétrole, ce qui fait pression sur les prix.

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Le marché pétrolier subit des pressions

Tendance stable – La hausse des stocks de pétrole brut, l’augmentation des exportations pétrolières russes et les spéculations sur l’évolution des taux d’intérêt font actuellement pression sur les prix du pétrole.

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Prix du pétrole en légère hausse

Tendance en légère hausse – Actuellement, les prix du baril de pétrole brut de type Brent et Nymex sont en légère augmentation, principalement en raison de la forte demande pétrolière chinoise, après les vacances du Nouvel An lunaire. Les données étonnamment élevées sur les voyages et la consommation en Chine ont fait souffler un vent d’optimisme quant à l’évolution de la demande pétrolière intérieure durant le deuxième trimestre de 2024.

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La baisse de la production pétrolière russe et la faiblesse du dollar américain soutiennent les prix du pétrole brut.

Tendance en légère baisse – En dépit des inquiétudes relatives à la demande pétrolière mondiale et au ralentissement du marché immobilier chinois, le marché pétrolier affiche une tendance haussière. Selon le ministre russe de l’énergie, Nikolaï Choulguinov, la production pétrolière russe va reculer en 2024 de 1.6 pour cent, pour se porter à 10.46 millions de barils par jour. Cette information contribue également à soutenir les cours du pétrole. De plus, dans les raffineries russes, le débit pourrait légèrement diminuer. La baisse du cours du dollar américain provoque une augmentation de la demande de matières premières, ces dernières devenant plus avantageuses pour les pays importateurs. Ce facteur donne un essor supplémentaire au marché. En revanche, les inquiétudes concernant la demande pétrolière mondiale font pression sur les prix. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a pronostiqué une augmentation des stocks de pétrole de plus de 800'000 barils par jour en 2024, en raison de l’affaiblissement de la demande mondiale et d’une offre en augmentation.

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Hausse modérée des prix du pétrole

Tendance en légère hausse – Entre hier et aujourd’hui, les prix du pétrole n’ont augmenté que faiblement.
Les troubles persistants en mer Rouge soutiennent néanmoins les cotations pétrolières. Le 18 février, le commandement central américain a fait part de cinq attaques sur des territoires contrôlés par le groupe de militants houtis au Yémen. Le 16 février, les rebelles houthis ont lancé trois missiles sur un pétrolier qui acheminait du pétrole brut russe vers l’Inde. Cette information a été confirmée par le ministère américain de la Défense. Bien que le navire n’ait subi que de faibles dommages et qu’aucun membre de l’équipage n’ait été blessé, il est à craindre que la hausse des frais de transport n’affecte les rabais alloués sur le pétrole brut russe. Depuis le début du mois de février, les frais de transport pour les 270'000 tonnes de pétrole brut acheminés par la mer Rouge vers la région de l’Asie-Pacifique ont sensiblement augmenté.

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Prix du pétrole en légère baisse en ce début de semaine

Tendance en légère baisse – Après avoir augmenté vendredi, les prix du pétrole sont à nouveau sous pression ce matin. Ce mouvement baissier est dû au déploiement de la nouvelle mission navale de l’Union européenne en mer Rouge, qui fait renaître l’espoir d’une stabilité accrue dans la région. L’Union européenne va lancer une mission d’une durée d’un an qui s’appellera Aspides. Les trois frégates doivent protéger les navires marchands contre les attaques des rebelles houthis au Yémen, a déclaré Hannah Neumann, responsable de la délégation du Parlement européen pour les relations avec la péninsule arabique, en marge de la conférence de Munich sur la sécurité. La tendance baissière des cours du pétrole se heurte toutefois à l’assombrissement des perspectives d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré qu’Israël ne céderait pas aux pressions internationales et n’annulerait pas l’offensive terrestre planifiée sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où un million de Palestiniens ont trouvé refuge. Lors de la conférence sur la sécurité de février à Munich, les négociations sur un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, basé dans la bande de Gaza, ne se sont pas déroulées « de manière très prometteuse ».

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