Vous trouverez ici les nouvelles du marché publiées précédemment.
Légère baisse des prix du pétrole en ce début de semaine
Tendance en légère hausse –
Les prix du pétrole ont débuté la semaine en léger recul. Ce mouvement baissier est probablement dû au fait qu’une propagation du conflit à tout le Proche-Orient a pu être évitée pour l’instant.
Tendance en légère hausse –
Vendredi, les prix du pétrole ont encore augmenté, en raison de l’incertitude prégnante générée par le conflit au Proche-Orient. Sur le marché pétrolier, les craintes liées à cette situation sont également très vives. Actuellement, les cours du pétrole ont atteint leur niveau le plus élevé depuis début octobre mais ils se situent encore sensiblement en dessous de leur pic annuel de fin septembre. Selon certaines rumeurs circulant sur le marché, les primes de risque qui majorent les prix du pétrole seraient de nouveau en hausse.
Tendance en légère baisse –
Jeudi matin, les prix du pétrole ont légèrement reculé. Ce mouvement baissier s’explique par le fait que les USA ont provisoirement levé les sanctions contre l’industrie pétrolière et gazière du Venezuela. Auparavant, le gouvernement vénézuélien et la coalition d’opposition avaient convenu de coopérer pour garantir que les élections présidentielles – qui auront lieu l’année prochaine – se déroulent librement et de manière équitable. La compagnie pétrolière vénézuélienne Petróleos de Venezuela SA (PdV) a l’autorisation de continuer ses exportations pétrolières vers les USA et les autres pays. L’interdiction de réaliser de nouveaux investissements dans le secteur pétrolier et gazier – qui était en vigueur pour une durée de six mois, soit jusqu’au 18 mars – a été levée. Le ministère des Finances a néanmoins indiqué que la levée des sanctions ne sera prolongée que si le Venezuela remplit ses obligations dans le cadre du plan d’action électoral et accepte de libérer les personnes détenues illégalement.
Tendance en légère hausse –
Mercredi, les prix du pétrole ont fortement augmenté car les acteurs du marché redoutent une escalade du conflit au Proche-Orient. Les cotations pétrolières s’étaient stabilisées dans la première moitié de la semaine, en raison de l’espoir qu’une guerre entre le Hamas et Israël puisse être évitée, grâce aux efforts diplomatiques. Désormais, le risque bien réel d’une escalade du conflit pourrait les faire flamber. Les observateurs du marché ont souligné qu’une attaque à la roquette contre un hôpital situé dans la bande de Gaza avait accru les inquiétudes géopolitiques sur le marché pétrolier. La Turquie, l’Arabie saoudite, le Bahrein, la Jordanie et l’Egypte ont accusé Israël d’avoir perpétré cette attaque. Selon le représentant permanent adjoint de la Russie auprès des Nations unies, Dmitri Poljanski, la Russie et les Emirats arabes unis ont demandé une réunion urgente du Conseil de sécurité des Nations unies. Ils craignent que l’Iran n’intervienne directement dans le conflit. Hier, Téhéran a lancé une mise en garde d’un recours à une éventuelle „mesure de précaution“, au cas où Israël déciderait d’envahir la bande de Gaza. Au Congrès américain, des voix se sont élevées pour réclamer des sanctions supplémentaires contre l’Iran.
Tendance en légère baisse –
Mardi matin, les prix du pétrole ont légèrement baissé. Après les importantes fluctuations de prix de la semaine dernière, le marché pétrolier s’est récemment stabilisé. Le conflit entre le Hamas et Israël est toujours source de vives inquiétudes. Si cette guerre vient à embraser d’autres pays, le marché pétrolier pourrait subir des répercussions notables. Israël continue de se préparer à une attaque terrestre sur la bande de Gaza et une éventuelle réaction de l’Iran ne peut être exclue. De nombreux pays riches en pétrole, tels que l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et l’Iran, se situent au Proche-Orient.
La semaine débute avec des prix du pétrole en hausse
Tendance en légère hausse –
Actuellement, l’ambiance est particulièrement tendue sur le marché pétrolier, ce que les fortes fluctuations de prix de la semaine dernière reflètent clairement. Bien que les cours du pétrole n’aient pas encore atteint le niveau record de la fin septembre, une tendance haussière s’est dessinée dernièrement. Elle a été déclenchée par le conflit entre le Hamas et Israël, qui représente une menace potentielle pour cette région du Proche-Orient riche en pétrole. Une escalade du conflit demeure un risque considérable. Au cours du week-end, des efforts diplomatiques ont été déployés, notamment par les USA, pour endiguer le conflit. Israël cherche maintenant à démanteler le Hamas dans la bande de Gaza, dont l’attaque terroriste perpétrée il y a environ une semaine a tué plus de 1’300 personnes et en blessé plus de 3’600. Une offensive terrestre de l’armée israélienne est attendue.
Les prix du pétrole augmentent encore avant le week-end
Tendance en légère hausse –
Les prix du pétrole n’ont enregistré qu’une brève baisse sur les marchés à terme internationaux et ils affichent déjà à nouveau une tendance haussière.
Tendance en légère hausse –
Les cotations pétrolières affichent toujours une certaine robustesse. Elles sont soutenues pas les craintes des acteurs du marché en relation avec la situation de l’offre pétrolière mondiale.
Le mouvement haussier des prix du pétrole se poursuit
Tendance en forte hausse –
Les cotations pétrolières continuent de grimper. En parallèle, les tensions au Proche-Orient perdurent. L’éventuelle implication directe de l’Iran dans l’attaque du Hamas est toujours incertaine.
Tendance en légère hausse –
Les hausses enregistrées hier par les cotations pétrolières sont suivies ce matin par de légères corrections baissières. Tant que l’implication de l’Iran dans le conflit entre le Hamas et Israël n’est pas confirmée, les répercussions sur le prix du pétrole restent modérées. Samedi, le Hamas a lancé une attaque de grande envergure contre Israël. Ce pays a réagi par des représailles dans la bande de Gaza. Les incertitudes quant à l’évolution de la situation au Proche-Orient limitent le potentiel de baisse des cours du pétrole. D’éventuelles réactions militaires ou économiques contre l’Iran seraient susceptibles de provoquer une flambée des prix du pétrole car elles toucheraient non seulement les 3 pour cent de la production globale de l’Iran mais, dans le cas extrême, les 20 pour cent des volumes qui transitent par le Golfe arabe.